Les agriculteurs Africain principalement les petits exploitants sont hautement vulnérables aux incertitudes et risques inhérent, allant des risques climatiques majeurs tels que la sécheresse, les inondations, les tempêtes et la grêle, à des difficultés d’acquisition des intrants agricoles. Ils font face aussi à des défis au niveau de l’après-récolte, y compris l’accès incertain aux marchés et le taux de fluctuation élevé des prix.

Les petits exploitants n’ont aucun ou très peu de moyens pour gérer ces risques qui les mènent à se dépendre sur les stratégies traditionnelles de minimisation des risques tel que la diversification des activités agricoles et les mécanismes de réduction des risques et très souvent, ces stratégies n’optimisent pas la productivité et n’assurent qu’une protection limitée contre les chocs sévères.

L’objectif de FARMAF est d’améliorer l’accès à et de promouvoir le développement et l’utilisation des outils efficaces de gestion du risque pour influer positivement sur la sécurité alimentaire et les moyens de subsistances des petits exploitants.

On espère que cette approche aidera à renforcer la capacité des petits exploitants à gérer des crises imprévues, à améliorer l’accès au crédit, à investir dans une technologie permettant d’améliorer les rendements, d’agir collectivement et d’améliorer les commercialisation des produits agricoles.

Les outils de gestion du risque en cours de développement et de promotion sous le projet FARMAF dans les trois pays cibles notamment le Burkina Faso, la Tanzanie et la Zambie comprennent :

• Les plans d’assurance agricole
• Les systèmes de marchés innovants
• Les systèmes d’information des marchés
• L’action collective
• Le plaidoyer politique